Avec la préposition pendant, on a certainement l’idée de l’intervalle durant laquelle le poids a été gagné/perdu, de sorte qu’on peut simplifier toute cette idée de progression (la voie, amaigrissement) et employer un pronom pour ne pas répéter (poids, en) :
Pendant la pandémie, certains ont perdu du poids alors que d’autres en
ont gagné.
On peut aussi faire référence à un seul état, au gain ou à la perte de poids, avec (le) contraire (« …alors que pour d’autres ça semble être le contraire »). On peut aussi penser à des termes comme régime, excès, jeûne, ou à une allusion avec une expression et son antonyme comme faire bonne/petite chère.
Le langage imagé est peut-être ce qu’il y a de plus propice pour une telle idée, selon le contexte, mais un langage littéral peu avoir la préférence.
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La pandémie a vu certains glisser sur la pente de l’amaigrissement et d’autres sur celle de l’embonpoint.
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En ces temps de pandémie certains n’ont pas pu se garder de l’amaigrissement cependant que d’autres se sont abandonnés à l’embonpoint.
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Il aura fallu la pandémie à certains pour se résigner à l’amaigrissement, et à d’autres pour se laisser aller à prendre de l’embonpoint.
La pandémie a conduit certains aux rondeurs d’autres à la maigreur.
Qu’elles soient devenues maigres ou enveloppées, ces personnes ont
souffert de la pandémie.
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