On dirait bien qu’il ne s’agit que d’une orthographe erronée qui a peut-être mieux réussi à s’implanter au Québec qu’ailleurs mais on rencontre en France aussi des tas d’étrainer et d’étraîner où le sens est manifestement strictement le même que celui d’étrenner.
N’insistons pas sur l’emploi plutôt agaçant du futur et la présence étonnante de quelques coquilles (p. 46 ; « étraîner » pour « étrenner », p. 105 ; « serin » pour « serein »), et reconnaissons l’aisance et le naturel d’un style agréable et fort bien maîtrisé.
Québec Français, p 11.
Leave a comment