En ce qui me concerne, j’écrirais simplement
[…] le participant […]
et j’éviterais ces orthographes soi-disant épicènes. Je rappelle que le masculin est en français la forme non-marquée d’après l’Académie et s’emploie quand le genre est indéterminé
Seul le genre masculin, non marqué, peut représenter aussi bien les éléments masculins que féminins. En effet, le genre féminin ou marqué est privatif : un « groupe d’étudiantes » ne pourra contenir d’élèves de sexe masculin, tandis qu’un « groupe d’étudiants » pourra contenir des élèves des deux sexes, indifféremment. On se gardera également de dire les électeurs et les électrices […] expressions qui sont non seulement lourdes mais aussi redondantes, les informaticiennes étant comprises dans les informaticiens. De la même manière, l’usage du symbole « / » ou des parenthèses pour indiquer les formes masculine et féminine […] doit être proscrit dans la mesure où il contrevient à la règle traditionnelle de l’accord au pluriel.
Il a existé la règle ou accord de proximité, qui fait que le ou la participante s’explique. Selon cette règle on accorde un mot avec la marque de genre la plus proche. Mais cette règle est passée, est aujourd’hui fautive, à ce que je comprends.
D’après les québécois, il vaut mieux dire la ou le participant. Et, comme le dit Evpok, d’après l’Académie, le masculin est neutre.
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