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What is the capital of Tunisia?

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What is the capital of Tunisia?

Féminins de « grec » et « néogrec »

Le fait que grec/grecque est une exception (notons que de mon point de vue, tous les cas devraient être considérés comme des exceptions, jusqu’à ce qu’il y en ait trop) provient très probablement du dédoublement de la consonne destiné à maintenir au féminin le son d’un “e ouvert” (id est le son “è”) du masculin. On ne peut dédoubler un “c”, donc nous voilà avec un “que” sur les bras. Abracadabra.

Disons quoique de façon un peut mystique (mais l’étymologie n’est-t-elle pas un tissus de mysticisme ⸮) que la langue Grecque a une importance si singulière et même crutiale en français que son statu presque divin lui permet des transgressions peut commune. Dois-je rappeler qu’elle doit au français rien de moins que son alphabet qui se vit même augmenté tardivement d’autres lettres grecques ?

Au delà de la langue française et des langues latines (ou utilisant l’alphbabêt latin) la façon de désigner les grecs fait l’objet d’une curieuse polymophie. À défaut donc d’expliquer l’étrange flexion -cque on peut au moins supputer que ce bordel étymologique n’augure pas moins 🙂

Un ‘e’ non suivi d’un ‘c’ se prononcerait différemment. L’exception n’est donc pas sur du vocabulaire mais sur la terminaison.

-EC se féminise en -ECQUE

-C se féminise en -QUE

Cette règle de terminaison est aussi valable pour des mots féminins qui n’ont pas d’équivalent masculin, comme la Mecque. ☺

 

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