Si je me souviens bien de mes cours de catéchisme, Jésus n’est pas Dieu, il est un homme. Il est l’incarnation de Dieu parmi les hommes.
De la même manière, Napoléon est ici vu comme l’incarnation du peuple, il le représente (en tout cas pour ce “lui” dont le narrateur parle).
La comparaison donne aussi à Napoléon une dimension de messie, de sauveur.
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