Voici ce que dit le TLFi :
ÉTYMOL. ET HIST. − [xiiies. biau cop « grande et belle chose »
(Joinville, 221 dans Littré : Nos engins getoient aus leurs; et les
leurs aus nostres; mès onques n’oy dire que les nostres feissent biau
cop)]; 1. avec valeur de subst. 1379 beaucoup précédé d’un verbe « une
grande quantité » (J. de Brie, Bon Berger, éd. Lacroix, 109 dans
T.-L., s.v. coup : Et n’est force que les brebis menge[nt] beaucoup au
mois de juing); fin xives. beaucoup de + subst. « id. » (Froissart,
Chron., II, 320 dans Gdf. Compl. : Qui vous fera encores biaucop de
bien); 2. 1465 adv. (J. Aubrion, Journ., ibid. : Le vin en fuit plux
chier, et le bledz aussi belcop). Composé de beau* et de coup*.
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