En poésie, la diérèse s’impose pour « louer » et « nier ». Elle atténue ou supprime la consonne spirante et isole nettement la voyelle finale : /lwe/ → /lu.e/, /nje/ → /ni.e/ ou /nij.e/.
Ces trois mots riment donc mais d’une rime pauvre, c’est à dire ne reprenant que la dernière voyelle, ici /e/.
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