« C’ » est un pronom démonstratif impersonnel qui signifie « ceci » ou « cela », il peut donc désigner « il » ou « elle ». Pour préciser dans ce cas, vous pouvez utiliser:
Elle est mon guide.
Au passage « c’est mon guide » doit avoir un contexte, sinon il est difficile pour l’interlocuteur de savoir qui représente « c’ »: , « ceci » ou bien « cela ».
« C’ » is an impersonal demonstrative pronoun meaning « ce », « ceci » or « cela », it can mean « il » or « elle ». To specify, you can use:
Elle est mon guide.
By the way, « c’est mon guide » has to have a context, otherwise it is difficult to know who is behind « c’ »: « ceci » or even « cela ».
https://www.laits.utexas.edu/tex/gr/pro3.html
You can use “c’est” + noun to replace “il” (= he) or “elle” (= she).
“il” / “elle” :
- + adjective alone
- + nationality, occupation, religion, job
Write : “Elle est mon guide.“
Source :
- FR : http://la-conjugaison.nouvelobs.com/fle/c-est-et-il-est-21.php
- EN : https://www.laits.utexas.edu/tex/gr/pro3.html
You believe wrong, « C’est mon guide » doesn’t need to be adapted as it already equally applies to a woman. « Elle est mon guide » is somewhat odd. It matches the unidiomatic « Il est mon guide » unless used in a religious context.
In accordance with titles and jobs ongoing feminisation of and given the fact guide is already both masculine and feminine, I might simply say C’est ma guide just like C’est ma ministre ou ma députée are commonly used.
« C’est mon guide » peut déjà très bien s’appliquer à une femme et n’a pas besoin d’être adapté. « Elle est mon guide » me semble un peu lourd, ou du moins d’un autre registre que la formule originale. C’est la version féminisée de « Il est mon guide » qui est peu idiomatique, sauf dans un contexte religieux ou similaire.
Au regard de la féminisation croissante des titres et métiers et sachant que « guide » est déjà épicène, « C’est ma guide » ne me choque pas du tout, en tout cas pas plus que « C’est ma ministre » ou « ma députée », et passe beaucoup mieux que l’ambigu « C’est ma maire » ou l’impossible « C’est ma médecine ».
Références : TLFI
II. − Subst. fém.
A. − [Le subst. désigne une pers.]
1. Rare. Femme, jeune fille qui dirige la marche de quelqu’un. Ma jeune guide m’indiqua du doigt, à flanc de coteau, une chaumière qu’on eût pu croire inhabitée (Gide, Symph. pastor.,1919, p. 878).
Voir aussi cet article du Larousse en ligne.
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