La désignation habituelle :
Le mari est cocu et la femme est trompée.
En France, on n’emploie pas tricher mais tromper ou cocufier.
Il n’y a pas de nom couramment employé dans les cas de vengeance, mais de nombreuses situations et personnages de théâtre, vaudeville ou tragédie.
Les relations définies par le triolisme induisent le consentement des participants, ce qui n’est pas le cas des situations évoquées.
EDIT
Les mots amant et amante ne signifie pas forcément tromperie, mais ils peuvent être utilisés pour désigner les personnages de la question (n’ayant pas su insérer un tableau, les correspondances homme/femme selon les contextes se repèrent entre les ‘ / ‘).
Il faut donc préciser le contexte :
Il est devenu l’amant de la femme de l’amant de sa femme.
On peut aussi imaginer, si sa femme le trompe avec un bisexuel, et qu’il le soit aussi :
Il est devenu l’amant de l’amant de sa femme.
Amant :
Sigisbée, soupirant, tourtereau, galant / gigolo /
mec, amoureux, chéri, mari, godelureau /
concubin, époux, compagnon.
Jules (soit mon Homme pour une femme, mais il a aussi le sens de maquereau), micheton (client d’une prostituée).
Amante :
Amie, amoureuse, bien-aimée, dulcinée, compagne / mondaine, demi mondaine / nana, camarade femme, copine, maîtresse / concubine, régulière, épouse.
Poule (d’un Jules), régulière.
- Le mari infidèle / volage
- La femme trompée
- La maîtresse
- Le mari trompé (familier: le cocu)
- La femme infidèle / volage / adultère (vieilli)
- L’amant
Note: « Cocue » existe au féminin mais son emploi, en progression, reste beaucoup plus rare que celui de « cocu ».
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