Pour moi, sauf erreur : l’auteur utilise l’emphase ici pour mettre en relief le fait que l’on ne peut pas observer une qualité non-observable effectivement en opposition à celles que nous observons. On ne peut donc pas prouver leur existence ni leur inexistence. Étant donné qu’on ne peut pas observer ce qui est non-observable, on ne risque pas de pouvoir pénétrer la nature intime, l’essence même, des êtres, abstraction faite de ce qu’ils nous paraissent.
Il suffirait d’une seule (unique) qualité non-observable pour que ce soit une preuve et que l’on puisse alors prétendre pouvoir pénétrer la nature intime, l’essence même, des êtres, abstraction faite de ce qu’ils nous paraissent.
Leave a comment