Cela signifie que Marius, jusqu’à ce qu’il ait lu le Moniteur ainsi que de nombreux ouvrages traitant de la République et de l’Empire, considérait la République comme n’ayant enfanté que de la guillotine et l’Empire comme un état de guerre permanente.
Comme il est dit dans la phrase suivante :
Il venait d’y regarder, et là où il s’attendait à ne trouver qu’un chaos de ténèbres, il avait vu, avec une sorte de surprise inouïe mêlée de crainte et de joie, étinceler des astres, Mirabeau, Vergniaud, Saint-Just, Robespierre, Camille Desmoulins, Danton, et se lever un soleil, Napoléon. Il ne savait où il en était. Il reculait aveuglé de clartés.
Il s’aperçoit que la République et l’Empire représentent beaucoup plus de choses.
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