La raison pour laquelle l’emploi cité pourrait être tolérable est donné par l’Ac. Le texte ou des commentaires à l’effet de le paraphraser ne figurent pas sous la question cité en commentaires (laquelle question mène via sa réponse à la référence de l’Ac.). De plus, il n’est nullement question de cette particularité dans le texte de la question citée comme donnant une réponse à la présente question. Il n’est pas clair, selon la compréhension que j’ai du système, s’il y a raison suffisante pour considérer la question comme résolue.
À tout hasard je répète cette avis de l’Ac. ci-dessous.
« C’est », suivi d’un nom au pluriel ou d’un pronom autre que personnel, s’accorde avec celui-ci. Toutefois le singulier se rencontre parfois à l’écrit, particulièrement dans les cas suivants :
- lorsque singulier et pluriel sont identiques pour l’oreille : Ce n’était pas des mensonges ;
- lorsque ce reprend un nom ou un pronom au singulier qui le précède : Le monument qu’on aperçoit, c’est les Invalides ;
Both forms are idiomatic.
Ce sont des is more used than c’est des, especially in written language.
Starting the sentence with ça is shifting it toward a more informal register where the mismatch between the singular c’est and the plural des that follows is widely accepted.
The form cela, ce sont… sounds less acceptable than cela, c’est while celles-là, ce sont… is odd because what was just said has no gender so a neutral pronoun is expected.
If you want to avoid the issue, you can say:
C’est signe que tu es consciencieux et que tu sais faire preuve d’initiative. Et ce sont là des qualités que j’apprécie.
Orally, most people will casually say c’est nowadays.
But in your sentence ce sont is nicer, and people making a little effort to speak French a little bit better would say ce sont 🙂
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