La structure habituelle de la phrase est : Quand on a goûté/essayé à …, il est difficile de s’en passer.
Quel malheur de revenir au pain noir quand on a goûté au pain blanc.
… signe que l’on s’est échappé d’une ‘misère’ un moment bien trop court.
Bigre, une deux chevaux après une Rolls Royce, quelle chute !
Quel gadin ! Un roman à l’eau de rose après une idylle parfaite !
Du pipeau après le Grand Orchestre de Paris, quel dénuement !
L’odeur du fennec après celle des roses d’Ispahan, c’est rude !
C’est un vrai plaisir de manger du foie de morue après un chocolat noir !
Reprendre la bure après la soie, ça gratte !
Complément, suite aux commentaires
Escalader la dune du Pilat après le Mont-Blanc, c’est faire les deux sommets les plus hauts d’Europe !
Finir "Amiral de la flotte du bassin du jardin du Luxembourg de Paris", après trois Transat en solitaire, quelle carrière !
G.O. l’été, olé-olé ! Barman l’hiver… monde à l’envers.
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