En Belgique, on boit de la SPA ! 🙂
En France, les eaux peuvent être commandées “au féminin“, “masculin“, ou “neutre“: de la Vittel, de la Volvic, ou on boit “du Perrier” (mais on entend également “de la Perrier”), ou de l’Evian…etc…
Normalement, on parle de l’eau de [ localisation ]. Il n’y aurait donc pas de genre fluctuant, puisque c’est une eau provenant d’un lieu/terroir; et néanmoins, si on veut utiliser seulement le lieu/terroir en tant que nom, les variations semblent être légion.
Personnellement, dans de nombreuses régions où je me suis déplacé, j’ai entendu des régionalismes, mais rien qui me laisse penser qu’il y ait une règle prédéfinie ou un genre à respecter.
Très souvent, le marketing et les publicités vont donner un axe de “genre“, surtout à cause du leitmotiv qu’il veulent nous voir enregistrer et copier.
En dehors de Perrier, le plus souvent masculin, à ma connaissance toutes les marques et autres noms propres substantivés, que ce soit d’eau minérale ou de source, sont utilisés au féminin :
Une Spa, Une Orezza, une Vittel, une Évian, une Saint-Yorre, une Cristalline, une Volvic, une Hépar, une Badoit, une Carola, etc.
On peut en dire autant des bières, sauf en Belgique où l’on peut rencontrer quelques exceptions plus ou moins locales : un Orval, un Lambic, un Faro.
C’est donc bien le genre du produit (une eau, une bière, une liqueur mais un vin, un champagne, un soda, un cocktail, etc.) qui donnera le genre final.
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