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What is the capital of Tunisia?

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What is the capital of Tunisia?

The meaning and etymology of “histoire de” / “histoire que”?

They are quite equal to me, it’s just a slightly different way of saying the same thing.

You could for example say :

Tu n’as qu’à amener du vin, histoire de satisfaire tout le monde.

Tu n’as qu’à amener du vin, histoire que tout le monde soit satisfait.

They mean exactly the same.

As for the history of this expression, I’m afraid I can’t help you.

Both (histoire de / histoire que) have the same meaning, but they aren’t grammatically equivalent.

It’s an exact duplicate (meaning and grammar) of afin de / afin que, meaning pour / pour que.

  • histoire de + [verb at infinitive form] (histoire de rigoler)

  • histoire que + [proposition containing a conjugated verb (subjonctive)] (histoire qu’on rigole)

And it can indeed be translated as just to (but to or in order to could also be adequate)

The CNRTL gives these two examples :

Je vous les cèderais pour un morceau de pain, histoire de vous rendre service (Courteline, Linottes, Pendule, 1890, p. 182)

Histoire que vous sachiez que je suis homme de parole (Mérimée, Lettres à Mme de La Rochejacquelein, 1870, p. 200)


– Ajout tardif – :

Il me semble qu’on peut noter une autre différence entre les deux expressions. Seule la variante histoire de s’emploie parfois seule, comme une locution dont le sens est volontairement très flou, permettant de s’affranchir d’explications potentiellement longues ou peu utiles. Un exemple sorti du chapeau, à remplacer par un extrait plus authentique si ça vous parait utile :

« Hé, on pourrait peut-être passer voir si Thierry est rentré de Paris ? Histoire de. »

Seule

Histoire de + infinitif , expression familière pour marquer le but, l’intention.

est mentionnée dans le Robert.

La virgule après histoire : « Histoire, que tu es lente et cruelle ! » change tout le sens.

Je ne suis pas certain que le subjonctif après histoire que soit admis par l’académie : une recherche rapide avec « histoire que subjonctif » ne ramène rien.

Cependant, histoire que reste une expression argotique contemporaine (ou liée à l’oralité).

Complément

Histoire de semble s’employer lorsque l’on évoque une généralité, lorsque l’on englobe tout le monde :

Histoire d’en rire, si on faisait une blague à la Grande Duduche ?
(pour rire de l’effet de la blague en se moquant de la Grande Duduche)

Faisons une blague au premier venu, histoire de rire ! (pour le simple plaisir de rire)

« histoire que nous rions » indiquerait alors une singularité appuyée, un parlé convenu entre personnes de qualité, excluant les personnes extérieures au groupe.

Il semble fonctionner avec que lorsque l’intention est comminatoire :

J’ai voulu faire cette fête, histoire que tu viennes. (familier)

J’ai inventé cette histoire, histoire (répétition intentionnelle à
la place de pour) de vous faire venir. (plus littéraire)

Ajouté comme une sorte d’appogiature, peut faire preuve d’insistance, voir de cynisme selon l’intonation.

Approche un peu, histoire que je t’apprenne les bonnes manières.

Histoire peut être :

Raconte-moi une bonne blague (une ou des histoires), que je rie un
peu.

sera plus aisé à dire, plus habituel que « histoire que je rie un peu », bien qu’il soit strictement équivalent, tant sur le sens que grammaticalement.

histoire de and histoire que get the same meaning as afin que (in order to).

For your second sentence, “tu me donne la paix” means “tu me fiches la paix”. You can find the meaning of this expression in a previous answer.

From personal experience of French, “histoire de” is a shortcut relaxed/informal style for the English “just to”. It conveys the idea of derision (la route est longue, mangeons des bonbons, histoire de tromper la faim) ; cynism (le directeur m’a renvoyée, histoire de montrer qui est le patron) ; dare (il a acheté le tout dernier modèle, histoire de prouver qu’il a les moyens) ; expediency (le president a fait un démenti par voie de presse, histoire de couper court aux rumeurs), etc.

Très intéressant, le sens global et la grammaire est là, mais la “touche de dérision” me semble essentielle.
Trouver une traduction anglaise qui donnerai la même légèreté / coté comique / cynique / absurde / etc qu’offre l’argot me parait désespéré.

Serait-ce juste une de ces expressions que l’on doit renoncer à traduire avec toute sa drôlerie / charme pour placer une expression porteur de cette drôlerie / charme plus loin dans le texte ?

Dans l’exemple du chef (que j’aime bien), même si je suis fâché par les actions du chef, et impuissant face à lui, j’ai au moins le pouvoir de me moquer de lui et de le ridiculiser gentiment. “Histoire de” permet de montrer que je peux le faire en gardant une certaine légèreté. En anglais, sans une option argotique équivalent, je peux peut-être forcer le trait du coté “sérieux” pour ajouter au coté absurde. Je n’ai pas une traduction en tête, mais une phrase du genre “pince sans rire” ferait peut être l’effet, genre “in order to ascertain his absolutely legitimate authority as chief executive (and master of all)”.

“Histoire de rire” might go the opposite way “Have a laugh (or “‘Ave a larf”)” without the subject or the verb.

“Histoire de” et “Histoire que” constituent la même expression, mais “Histoire de” est suivi d’un verbe à l’infinitif parce que c’est le même sujet qui fait les deux actions dans la phrase. -Je me promène dans la rue, histoire de passer le temps : JE me promène et JE passe le temps.

“Histoire que” est quant à lui suivi d’un verbe au subjonctif parce qu’il y a deux sujets différents qui font les actions des verbes. – Tu n’as qu’à amener du vin, histoire que tout le monde soit satisfait : TU amènes le vin et TOUT LE MONDE est satisfait.

C’est toujours la même règle lorsqu’on utilise ce genre d’articulateur en français, mais dans certains cas, on utilisera l’indicatif à la place du subjonctif. Cela dépend dans ce cas du caractère certain (indicatif) ou incertain (subjonctif) de l’action. Après les articulateurs de but, c’est le subjonctif parce que la réalisation d’un but est incertaine, étant dans le futur par rapport au premier verbe.

 

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