Lost your password? Please enter your email address. You will receive a link and will create a new password via email.

What is the capital of Tunisia?

Please type your username.

Please type your E-Mail.

Please choose the appropriate section so the question can be searched easily.

Please choose suitable Keywords Ex: question, poll.

Type the description thoroughly and in details.

What is the capital of Tunisia?

Quel est l’avis des institutions normatives sur la prononciation des noms étrangers ?

Je ne citerai pas d’autorité ici, je vais juste dire qu’il faut rendre à César ce qui appartient à César. Un français est à peine capable de prononcer Aille-ze’k Ézimeuve, et que dire alors de Mi’rahil Garbatch’of ou Dji/ang Jiesh/i ?

Étant donné qu’il est manifestement impossible de conserver en français la prononciation d’origine, tout ce que l’on peut espérer est pour une langue donnée d’avoir des règles de transcription phonétique. Souvent les noms étrangers sont connus d’abord par écrit, et les français reconstruisent une prononciation vaguement étrangère en se basant sur les langues qu’ils connaissent et en essayant d’éviter les lettres muettes.

Je suis assez d’accord avec Gilles. Je pense que les informations nous parviennent d’abord à l’écrit. La prononciation est alors plus ou moins de la réalité en fonction des médias qui relaient cette information.

Dans tous les cas, à mon avis il faudrait conserver la prononciation initiale.

Je pense qu’il faut garder une attitude ouverte et pragmatique… D’autant plus que je dois faire plein d’erreurs de prononciation ! Comme tout le monde, vu qu’on ne connaît pas toutes les langues du monde. Je préférerais qu’on garde la prononciation originelle, quand on la connaît, mais l’usage, et l’ignorance, prévalent souvent.

Certains noms sont souvent prononcés, par exemple aux informations (télé, radio), donc il y a peu de problèmes. Les journalistes ont un petit livre expliquant comment prononcer les noms les plus courants… Encore faut-il qu’ils l’aient et qu’ils le consultent !

D’autres noms sont découverts par l’écrit, et si la prononciation n’est pas donnée, et si on ne connaît pas les règles spécifiques à la langue, on a tendance à prononcer à la française, ou peut-être à l’anglaise, dans certains cas (voyelles doublées, en général).

Par exemple, je découvre un logiciel nommé Vaadin, un nom finnois. En voyant ça, on peut prononcer à la française (va-adin), à l’anglaise, un a long, ou comme un natif, si on connaît la langue ou trouve une explication (souvent approximative) ou un fichier sonore.

Autre exemple d’erreur courante : le japonais est souvent transcrit en romaji avec la méthode Hepburn, la plus courante, suivant des règles précises. Ainsi le son sa est toujours transcrit sa, et toujours prononcé de la même façon, quel que soit sa place dans le mot (il y a quelques exceptions comme le u final, mais passons).
J’essaie souvent d’expliquer que wasabi se prononce wassabi et pas wazabi, généralement sans succès… 🙂
Si on parle à un japonais de wazabi, soit il ne va pas comprendre, soit il va faire un contresens (j’ignore si wazabi a un sens en japonais…).

Cela dit, j’ai toujours prononcé Isaak à la française (ou à ma sauce…), isa-ak, vu que quand je l’ai découvert, j’étais nul en anglais et ignorais comment ça se prononce…

Chose amusante, je pense que tout le monde parle du groupe U2 en disant ioutou, mais on entendra des prononciations différentes pour UB40 ou B-52…
Par contre, tout le monde (ou presque) prononcera USA en épelant en français plutôt qu’en anglais.

Ca va dépendre de ta définition de ‘doit’ 🙂

Très tôt# pendant mon apprentissage du français, j’ai compris qu’il fallait franciser les noms propres quand on parle (ou quand on écoute) si on veut avoir une chance d’être compris (ou de comprendre).

#C’était quelqu’un qui me demandait si j’aimais ‘Feelco Leens‘…

 

Leave a comment

What is the capital of Tunisia?