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What is the capital of Tunisia?

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What is the capital of Tunisia?

Non-misogynistic way to say “asshole”?

Garce is explicitely misogynistic as its masculine, gars, has no negative meaning.

C’est une conne is just the feminine of c’est un con so might fit the need, although it might be argued that even con is technically misogynistic too. Conne is however less likely to appear in a misogynistic context than connasse1.

You might also say C’est une trou du cul, somewhat breaking the grammar.

1
Les termes injurieux les plus fréquemment
utilisés dans les injures sexistes
:

Après lemmatisation, les formes verbales dont la fréquence
d’apparition dans le corpus est la plus élevée sont les suivantes:
salope, pute, connasse, sale. Hormis sale, ces termes sont
explicitement grossiers en plus de contenir une acception sexuelle eu
égard à leur définition mais également à leur étymologie.

There is nothing misogynistic in those two words; the etymology of “con” and “connasse” does not carry over into oral expression: the words, although they find their origin in a name for an organ of the human female, never suggest that organ, except for the more literate speaker, who is thereby more apt to appreciate how much more vulgar than one might presume is the term . The idea is out of the “effective” culture.

The word “garce” has been used since very ancient times 1165 (see the etymology) and two categories of meaning have been intertwined on it, simply that of “counterpart of young man or boy” (feminin of “gars”) for one and for the other a range of related meanings going from that of “saucy young girl or woman” to that of “prostitute or prostitute like woman”, the meaning of “mistress” and “mean woman” being found as intermediaries on the count of their referring to disapprovable behaviour also. It has come to mean no more “girl” or “woman” nor “prostitute” but “mean girl or woman” and the fact that woman do use the word is proof enough that there aren’t any misogynistic connotations attached.

If you want an equivalent for “asshole” you can use “chipie” (not vulgar, however it does not mean specifically “stupid”), as “asshole”, after all, means “stupid or unpleasant”. In the same register nothing is better than “connasse”, it implies stupidity and unpleasantness.

If you want to use a word that is absolutely gender-neutral and can apply to a man or woman with the same form, you can use the word ordure. It will keep the feminine gender whatever the person it refers to. As often with translations of insults, note it may not match the English word ass hole in all uses: ordure is rather a very negative judgment on the moral values of a person (not on their intellectual abilities).

Je connais cette femme, c’est une ordure.

Ce type est une véritable ordure.

To complete the answer of Gregorycrene (as I cannot comment yet) you can basically use all synonymous of ordure, such as pourriture, déchet etc.

I agree that the deeply misogynist origin of con/connasse is now almost entirely lost on its users. And gars vs garce is only one of so many examples in French of a neutral masculine and pejorative feminine.

That said, there are some more neutral alternatives. Apart from the more direct alternative ‘biteux’, I am fond of ‘abruti’ for instance, which adds a layer of stupidity to the meanness.

Je pencherais pour c'est un.e enfoiré.e. Le terme est assez proche de asshole (au moins du point de vue sémantique), et s’applique aux deux genres sans distinctions.

Après, dans le domaine des insultes, le genre n’a plus trop d’importance, au contraire, il peut servir à appuyer le propos. On entend souvent cette femme, c'est un (vrai) trou du cul (ce qui serait plutôt de la misandrie d’ailleurs car l’idée sousjacente c’est que seul les hommes peuvent l’être…).

I would choose c'est un(e) enfoiré(e). The sentence is very close to asshole semantically and does not have any sex distinction.

Honestly, when you trigger insult, gender is not that important, and you can use it as a weapon. We often hear cette femme, c'est un vrai trou du cul. It’s has a taste of misandry here, as the unsaid idea is that only men are assholes, and it serves to both insulting the women by comparing her to a body part and to assimilate her to a likely degrading men behavior.

Pour fins de réflexion et pour appuyer le propos présenté en question, je propose certains extraits du document déniché dans une autre réponse (merci pour la recherche) :

Mais même certains des opposants à l’écriture inclusive reconnaissent
le problème : « la langue est machiste » [Alain Rey ds.
LeFigaro.fr] (introduction)


C’est ainsi près des deux tiers des victimes d’injures
sexistes qui ont été insultées de salope, pute ou connasse. (à
la p. 22)


De manière littérale, les formes verbales composant les injures
sexistes subies par des victimes se trouvant dans la rue ont une
dimension plus grossière que celles ayant eu lieu ailleurs. En effet,
parmi les dix termes les plus représentés dans les injures de rue
figurent salope, pétasse, pouffiasse, pute, connasse. Comme nous le
verrons par la suite, au-de-là de leur caractère grossier, ces mots
comportent une connotation sexuelle et présumant de la moralité de la
victime à laquelle ils sont adressés. (à la p. 23)


Par contraste [aux formes verbales lorsqu’il y a interconnaissance],
lorsque victimes et auteurs ne se connaissent pas, on retrouve, de
manière assez logique, des termes sous entendant le contexte de la
conduite automobile (conduire, volant, permis, avancer), mais
également un quatuor d’insultes sexistes relativement usuelles :
connasse, pétasse, pouffiasse, salope. (à la p. 25)


Les injures subies par les victimes appartenant à cette catégorie
[injures sexistes professionnelles] de la typologie ont également pour
trait caractéristique le fait d’être pour beaucoup composées du
suffixe –asse. Ce « suffixe malsonnant » (Normand, 2009, p. 113)
comporte une connotation péjorative, ce que son étymologie confirme
puisque la forme acea signifie vulgaire en latin.
[…]
Le suffixe –asse accentue la connotation dépréciative de mots
comportant pourtant déjà une dimension insultante, à l’image de
connasse. Ce terme, accolant con au suffixe –asse, permet de désigner « de manière péjorative le sexe féminin » à partir du XVIIème
siècle mais également au figu-ré une « femme bête » (DHLF, p. 525).
Notons que la forme conne, également présente parmi les parangons de
cette classe, est la forme féminine du mot con qui en latin (cunnus)
désignait le sexe de la femme. Il n’est pas anodin que ce terme en
soit venu à acquérir au sens figuré la définition d’imbécillité. (à
la p. 32)


Ce glissement de sens de la saleté vers la souillure, que l’on peut
relever à travers les évolutions de signification du mot salope, ne
lui est pas spécifique. On le relève en effet plus globalement dans la
langue française à travers la féminisation de certains termes, dès
lors que ceux-ci acquièrent une signification désobligeante (Levy,
2017 ; Lausberg, 2017). Dans le même ordre d’idée, de nombreux termes
prennent en français une acception désobligeante dès lors qu’ils sont
au féminin. Le terme garce – forme féminine de gars – qui figure
dans les parangons de cette classe [les injures sexistes de rue], en
fournit un exemple. Ce mot qui désignait originellement une « jeune
fille » (XIIème siècle) acquiert progressivement un sens
péjoratif de « jeune fille ou femme débauchée » ; dépréciation que son
équivalent masculin n’a pas subie (Rey, 2016, p. 977). (à la p. 33)


[ « Les injures sexistes. Exploitation des enquêtes. Cadre de vie et
sécurité
» (Keltoume LARCHET) de l’Observatoire national de la
délinquance et des réponses pénales
de l’Institut national des
hautes études de la sécurité et de la justice
ds. Grand Angle no 47
de mars 2018. ]

On pourra prendre le temps de lire le document en entier si l’on s’intéresse au lexique et aux enjeux sociaux comme l’égalité dans un contexte où « les femmes sont encore plus nettement surexposées aux injures sexistes qu’aux injures en général : leur taux de victimation (3,8 %) est près de 10 fois supérieur à celui des hommes (0,4 %) » (dans le résumé du document). Ou si on a l’humilité de ne pas placer son opinion au centre de l’univers et d’accorder un tant soit peu d’importance aux victimes qui sont les destinataires de la communication injurieuse (voir l’avertissement dans le document). En effet, c’est par le truchement leur perceptions qu’on comprend l’impact des mots qui leur sont destinés il me semble et non par l’entremise des ardents défenseurs du statu quo et des agresseurs qui ne le subissent jamais.


Par ailleurs dépendamment de ce qu’on veut dire par asshole, on pourrait dire idiote, sotte, imbécile, fatigante (surtout Qc ?)., deux de pique (Qc.).

If you’re afraid to hurt anyone’s sensibility (including your own), then you should probably not use insults in the first place. The purpose of an insult is to offend, not to make a point.

When you’re up to the point that you want to insult someone, there is little need to see how well adapted the insult is, or if the insult is politically correct, accurate, etc … you insult a person because you want to hurt this person. There is no way to hurt a person ‘correctly’ or ‘accurately’, hurting is hurting.
On top of it, it depends a lot of the receiver’s sensibility. What would seem too strong for someone would hardly be noticed by someone else. Think of the f word, and on how some people use it in every sentence while others pretend to be shocked when they hear it.

In your particular case, I’d go for, from least to most offensive, ordure, trou du cul, grosse merde. They’re gender-neutral, very common and have a broad range of use, unlike more specific insults such as pourri or gros tas which do target some specific qualities of the receiver.

If you want to be refined and original, choose coprolithe or any of the hilarious and subtle insults of the capitaine haddock.

 

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