« smart cities » est ici utilisé pour qualifier les nouvelles formations sur les villes intelligentes. S’il s’agit du terme utilisé par les écoles d’ingénieurs pour qualifier leurs formations, il n’y a pas de raison de vouloir traduire.
Toutefois, s’il le fallait, j’écrirai : « s’accompagnent de nouvelles formations sur les villes intelligentes dans les écoles d’ingénieurs de la ville. »
Le vieux-jeu papapoule que je suis, je traite de “gadget” beaucoup des choses que mes poussins trouvent “essentielles” et donc je suis pas mal tenté de proposer “Ville Gadget” comme réponse (via formation.djehouti.com).
Mais même moi, je me résigne à reconnaître que les gadgets d’aujourd’hui seront les équipements standards de demain et du premier paragraphe de l’article sur Issy-les-Moulineaux (le lien en haut), j’emprunte et propose la notion de “numérique” pour arriver à “Ville Numerique”, qui est le terme que la ville Belge de Namur a choisi comme titre pour cette Déclaration de Politique Communale (both via namur.be/fr).
Les efforts d’équipement s’accompagnent de la création d’une chaire
universitaire sur [la nature de] la cité du futur et la gouvernance
des données à l’université de Bourgogne, et de nouvelles formations «
villes numeriques » dans les écoles d’ingénieurs de la ville.
(Although I commented elsewhere parenthetically that I thought that just about any adjective, in English at least, might cause confusion in this context [e.g., “smart city” could mean one that was full of smart people], I now think that this potential ambiguity could perhaps be avoided by using a term whose literal sense is more closely related to the computer age [e.g., “ville numerique” in French or at least “digital city” in English] [from enelx.com].)
Leave a comment