L’expression ne s’emploie pas seule, on dit plutôt :
- Tu as la malchance avec toi (ou plus rarement car plus menacante sur toi)
- Tu as de la malchance (en ce moment)
- Tu es malchanceux.
En fait la malchance est rarement usité de nos jours :
- Tu as le mauvais œil (sur toi)
- Tu n’as pas de chance
- Ce n’est pas ton jour (ou ta semaine)
L’expression en elle-même est équivoque, seul le contexte (dont la voix peut faire partie), mais surtout la phrase qui suit (ou qui peut précéder) marquera de l’ironie, de l’humour, de la férocité, du sadisme, ou au contraire de l’empathie, de la commisération, de l’attendrissement.
La phrase ‘qui suit’ peut être tout aussi indécise à l’écrit :
Tu n’a pas de chance, comme je te plains !
peut être dite avec ironie ou commisération… ce qui peut être un cauchemar ou un espace de liberté pour un metteur en scène.
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